Milano's Gossip est un forum basé sur la série Gossip Girl, mais se situant à Milan. Dans cette charmante ville d'Italie où tous sont la proie de rumeurs.
 
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 andréa ◊ Bitch, please. I am Prada, you are nada.

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MessageSujet: andréa ◊ Bitch, please. I am Prada, you are nada.   andréa ◊ Bitch, please. I am Prada, you are nada. EmptyLun 23 Mar - 12:42

Andréa L. Dubois
 
X Andréa Laurence D.
O Dréa ou Lau.
X 19 ans.
O Française.
X Étudiante en architecture.
O Nobles.

X Acharnée.
O Bornée, égoïste.
X Protectrice.
O Espiègle.
X Curieuse.
O Manipulatrice.
X Amusante, fêtarde.

X Sasha Pieterse.

 


My Story
 
Il faut que je te raconte mon histoire. J'ai besoin de me confier. Je sais que toi, au moins, tu ne balanceras pas mon passé à Juicy Diceria. Et dans le pire des cas, si tu le fais, ce sera la guerre. Et quand je dis la guerre, je veux dire la guerre. Pas les petits coups bas coutumiers qui incluent les photos choquantes au bahut, les insectes dans les douches ou les masses gluantes dans les casiers. La guerre avec un grand G. Façon Andréa Dubois.

Mes parents se sont rencontrés par hasard, dans des conditions funestes. Mon père achetait des fleurs pour les funérailles de son père, décédé du cancer une semaine plus tôt. C'était un doux matin de printemps, comme il le raconte si bien, et la fleuriste chantonnait joyeusement en arrangeant ses bouquets. Il s'est arrêté devant une couronne portant les fleurs préférées de son père, et s'est effondré. La fleuriste s'est approchée de lui, l'a consolé et l'a invité pour un café après les funérailles.

Il ne croyait pas s'y rendre, mais en rendant ses adieux à son héros, il a compris qu'il aurait besoin de quelqu'un pour se confier. Delphine la fleuriste tombait bien. Elle était charmante et ouverte d'esprit, et c'est tout ce dont il avait besoin. Sa famille à lui n'aurait pas raté l'occasion de le juger. Le grand Édouard qui pleure son père alors qu'ils n'étaient pas si proches ? C'était tout un évènement, ça ! Hors de question que ça arrive. Il avait besoin d'une oreille impartiale, d'un point de vue extérieur.

Mes parents ont vite développé une grande complicité et de forts sentiments l'un pour l'autre, mais ils sont tout de même passés à deux doigts de se séparer. Ma mère avait déjà ma grande sœur Élodie sur les bras, un point qu'elle avait caché à mon père. Il était furieux quand il l'a appris. Il ne pouvait s'empêcher de se sentir trahi. Heureusement, les choses se sont arrangées entre eux. Ils se sont jurés de ne jamais parler du passé de ma mère avec le père d'Élodie. Cela leur faisait trop mal, à l'un comme à l'autre.

Je suis née deux ans après que mes parents se soient rencontrés. Je me suis pointé le bout du nez deux semaines avant Noël. Élodie avait six ans à l'époque, et les infirmières coiffées de tuques de Père Noël la faisaient bien rire. Ma mère était heureuse, mon père infiniment nerveux, mais tout s'est bien passé.

D'après mes vieux, j'adorais Élodie quand j'étais petite. Il n'y avait qu'elle qui parvenait à me calmer ou me faire sourire quand j'étais bébé. Jusqu'à l'âge de quatre ans, je la suivais partout. C'est ce que disent mes parents, mais je ne me souviens pas de ça.

Je me souviens plutôt des temps passés à m'amuser toute seule et en silence dans mon coin. Mes parents ne parlaient pas du père de ma sœur, mais ça ne l'empêchait pas d'être présent pour sa fille. Dès qu'il en avait l'occasion, il l'emmenait au zoo, au cinéma, au parc, au restaurant, dans les boutiques ou dans les festivités. Parfois, elle passait la fin de semaine chez lui et revenait avec des peluches, des photos, un t-shirt ou un souvenir des endroits qu'ils avaient visités ensemble. Peu importe où ils allaient, elle revenait toujours avec le sourire.

Ce n'était pas juste ! Papa ne m'emmenait jamais nulle part, lui ! Je n'avais même pas le droit d'entrer dans son bureau ! Et avec notre mère fleuriste, je n'avais pas le droit de jouer dans le jardin non plus, car je risquais d'abimer les fleurs. Il ne me restait que mes cassettes, mes jeux calmes et la bonne d'enfants qui passait son temps à me faire des reproches. Mais je ne me laissais pas faire pour autant. Quand j'en avais la chance, je me vengeais. Je désobéissais à ma mère, je piquais des crises pour exaspérer mon père et j'agaçais ma sœur. J'ai vite compris que je pouvais faire passer toutes mes malices sur son dos, privilège de cadette, et je m'en donnais à cœur joie.

Mon enfance fut ainsi jusqu'à ce que je rencontre ma meilleure amie. J'avais six ans à l'époque. Cela faisait deux ans que j'étais à la petite école, et j'avais du mal à écrire comme mes camarades. Pour me consoler, maman m'a acheté une corde à danser et m'a donnée la permission d'aller jouer avec dehors, à condition que je ne m'éloigne pas trop de la maison. Entre deux sauts de ma corde à danser, j'ai entendu des cris et des pleurs. Curieuse, je me suis détournée vers la source du bruit. Des filles de ma classe s'amusaient à tirer les cheveux d'une fillette devant la maison située juste à coté de la mienne. Je m'en suis mêlée. La petite fille n'avait que trois ou quatre ans, elles n'avaient pas le droit de s'en prendre en bande contre une fillette comme ça ! Mes copines de classe se sont éloignées après que j'en aie poussée une par terre. Les autres n'étaient pas assez braves pour me rendre la pareille. Elles se sont éclipsées, et Clio et moi avons fait connaissance. Nous sommes vite devenues amies, les meilleures amies du monde.

Avec Lio dans ma vie, mon enfance était moins difficile. J'avais quelqu'un avec qui partager mes jouets, mes secrets et mes idées. Elle était toujours là quand j'avais besoin de quelqu'un avec qui m'amuser ou papoter. Avec elle pour m'accorder autant d'attention, j'ai plus ou moins cessé de faire la vie dure à mes parents. Je ne les écoutait pas toujours, mais mes crises étaient moins fréquentes. Je n'ai pas enterrée la hache de guerre avec ma sœur, pourtant. Nous étions trop différentes pour nous entendre. Nos six ans d'écart, nos deux pères et nos caractères disparates ne nous permettaient pas d'être en bon termes. Je lui en voulais de toute façon. J'étais toujours jalouse de sa relation avec son père, et c'étaient ajoutées à ma jalousie ses capacités académiques. Élodie avait toujours des bonnes notes. Elle passait ses examens comme elle respirait - tout naturellement, avec grâce et tranquillité.

J'ai grandi dans un monde qui se foutait de ma gueule, et je ne me gênais pas de me foutre de la gueule du monde à mon tour. Adolescente, j'avais toujours des troubles sur les bancs d'école. Mes notes n'étaient pas parfaites, et je devais bosser dur pour avancer. Avec Lio pour m'encourager et mes parents dont les attentes étaient fixées bien hautes, je n'avais pas le droit de baisser les bras. Mais il n'y avait pas que mes notes : il y avait les filles. Mes camarades de classe et moi ne nous entendions pas. Nous étions haineuses et opposées. Des rivales en compétition pour les beaux garçons, pour les vêtements, pour les tables et les sièges à la cantine, pour les bureaux dans les classes et pour les casiers dans les vestiaires du cours de gym.

Ce n'était pas toujours rose à la maison non plus. Mon père et ma sœur se disputaient souvent. Il se chicanait avec ma mère aussi. D'après la fleuriste, il ne nous traitait pas équitablement. Il me donnait tout ce que je voulais pour peu que je sois sage, que j'étudie ou que j'aille jouer ailleurs et refusait d'acheter quoique ce soit à ma sœur. D'après lui, si Élodie voulait quelque chose, elle n'avait qu'à demander à son père. Élodie n'était pas sa fille, et de ce fait, il n'avait pas à débourser un euro pour elle. Personnellement, j'étais bien d'accord avec ça. Le père de ma sœur lui donnait tout ce qu'elle voulait sans se soucier de moi, pourquoi le mien ne pourrait pas faire la même chose ? C'était le juste retour des choses.

Quand j'avais douze ans, Élodie est partie de la maison. Elle s'en est allée vivre avec son père pendant quelques mois, puis elle s'est envolée vers Milan pour y étudier les sciences animales. Je n'ai jamais compris pour quelle raison elle a décidé d'étudier en Italie plutôt que de rester en France. Elle ne connaissait l'italien qu'à travers de ses bouquins du genre Apprendre l'italien pour les nuls et n'avais jamais manifesté le moindre intérêt pour la mode. Elle a quitté le pays quand même pour ne revenir qu'une semaine par année, pendant les vacances de Noël.

Ma sœur partie, mes parents ont continué de s'engueuler. Maman accusait papa d'avoir poussée son Élodie chérie à s'exiler de France. Elle craignait pour ma sœur. Elle a mentionné son père, une fois, criant qu'il n'avait pas les moyens de permettre à sa fille d'habiter et d'étudier en Italie. La rage de mon père était si grande qu'il a balancé l'un de ses trophées de polo à travers leur chambre à coucher. Maman n'a jamais reparlé de son ex par la suite.

L'ambiance à la maison n'étant pas top, je m'amusais à gauche et à droite. Avec Lio, on se vengeait des gens qui nous agaçaient, on faisait les boutiques, on avait toujours une idée de malade en tête ou un projet sensationnel à réaliser. En dehors de ma mère, qui prenait le temps de m'écouter une fois sur deux, Lio était mon seul réconfort. Le reste de mes connaissances et mes petits amis passagers ne m'étaient pas assez cher pour assurer ce rôle. Quant à mes ennemies, tu te doutes bien qu'elles ne m'aidaient en rien. Or il arrivait que ma petite Lionne soit occupée ou indisposée, et dans ces moments-là, je me baladais toute seule. Je me rendais dans toutes sortes de lieux et je m'imaginais des histoires qui s'y seraient passées des siècles plus tôt. La France est un bon endroit pour faire ça. L'architecture historique et les vieilles contrées nous attendent dans le détour.

Ma Lionne m'a quittée plus tôt que prévu. Je me doutais bien qu'elle retournerait vers son père un jour ou l'autre, mais je ne m'attendais pas à ce que ce soit si rapide. J'avais toujours besoin d'elle et je n'étais pas prête à la laisser partir. Je n'avais aucune idée de ce que je voulais faire dans la vie, et tout allait de travers chez moi. Les parents n'ayant plus ma sœur dans les pattes, ils reportaient toute leur attention sur moi. J'étais bien naïve de croire que c'était ce que je voulais quand j'étais gamine. Avoir l'attention des vieux, c'était l'enfer ! Ils espéraient tous deux que je deviendrais quelqu'un de bien, avec un avenir majestueux, du genre grande maison, belle famille et tout le tintouin. Quand Lio est partie, je suis passée à deux doigts de m'écrouler sous la pression. Mais je tenais à ce qu'elle ait les adieux les plus beaux et les plus déchirants du monde, alors j'ai mis mes problèmes de coté. Au fond, j'étais heureuse pour elle. Tout ce qu'elle voulait, c'était d'avoir une famille. Moi, j'en avais une. Je pouvais bien me la fermer et être contente pour ma meilleure amie.

Son absence a creusé un vide en moi. Nous sommes restées en contact, mais ce n'était pas comme l'avoir à coté de moi. Nous ne pouvions pas rire ensemble des gens qui tombaient sur la rue, se donner des faux noms et prendre des accents étranges pour mener les gens en bateau, partager nos secrets en pyjama devant l'un de nos films préférés ou faire livrer de la nourriture gastronomique hors de prix ou des couronnes mortuaires aux voisins qui nous tombaient le plus sur les nerfs.

Je ne pouvais pas tenir le coup sans Lio. Je devais foncer en Italie pour la rejoindre. Au départ, ce n'était qu'une idée en l'air. J'avais l'âge de faire ce que je voulais, mais je n'avais pas d'argent et les retrouvailles avec ma meilleure amie mises à part, je n'avais aucune idée de ce que j'irais faire là-bas. Pourtant, plus j'y songeais, plus l'idée m'enchantait. Milan ! La capitale de la mode ! Un royaume d'architecture européenne qui m'était tout à fait inconnu !

Quand je fus certaine de ce que je voulais, je suis allée présenter l'idée à mes vieux. Ils se sont consultés, puis m'ont posé tout un tas de questions. Qu'est-ce que j'irais faire de constructif à Milan ? Où habiterais-je ? Que ferais-je si je croisais ma grande sœur dans les rues ? Vers qui pourrais-je me tourner si j'avais des problèmes là-bas ? Comment me démerderais-je avec la langue qu'ils parlaient à Milan ? Je leur ai dis que j'irais vivre avec Élodie, et que je tenterais de faire la paix avec elle. Je ne le pensais pas vraiment, mais maman semblait satisfaite d'entendre ça. Pour la langue, je leur ai rappelé que j'avais Clio pour m'aider et que j'en connaissais déjà un peu. Quant aux problèmes que je pourrais rencontrer, j'aurais ma sœur, ma meilleure amie et sa famille là-bas. Je n'oserais demander quoique ce soit à ses parents qu'en cas extrême, mais c'était toujours une option. Il ne me restait plus qu'une réponse à donner. Que ferais-je de constructif là-bas ?

Je pouvais sentir les regards de mes parents tandis que je faisais travailler le petit hamster dans ma tête. Sa roue tournait rapidement. L'illumination vint finalement d'elle-même. J'étudierais l'architecture. J'étais partisane d'histoire et de vieux bâtiments depuis toujours, et il ne manquait pas de ça à Milan. Enfin ! Tout se tenait et mes parents n'eurent d'autres choix que d'accepter. Mon père était d'accord pour payer mes études et m'envoyer de l'argent de poche. Maman me demanda tout de même d'obtenir la permission d'Élodie avant d'aménager avec elle. Je lui ai fait croire que ma sœur était d'accord, et après les préparatifs nécessaires, j'ai pu m'envoler vers Milan.

En débarquant de l'avion, je me suis rendue chez Élodie. Je n'oublierai jamais la tête qu'elle a fait en me voyant sur le pas de sa porte avec mes valises. Elle était choquée. Je lui ai joyeusement annoncé que j'habiterais désormais avec elle jusqu'à ce que je me trouve un endroit à moi. Élodie ne voulait rien savoir. Elle a affirmé qu'elle préférerait largement vivre dans un taudis plutôt que de cohabiter avec moi dans son appartement. Je lui ai répliqué qu'elle vivait déjà dans un taudis, et que de toute manière, maman ne lui pardonnerait jamais si elle me jetait à la porte. Me foutre dehors était une chose, me foutre dehors dans un pays étranger en était une autre. À contre-cœur, Élodie accepta de m'accueillir chez elle.

J'ai laissées mes valises à deux poils de la porte et suis partie en direction de la plus belle église de Milan. Depuis cet endroit, j'ai envoyé un texto et une photo à ma Lio adorée. Nous nous sommes retrouvées devant ce bijou d'architecture, Clio débarquant à limousine et moi l'attendant sagement devant. Nos retrouvailles furent encore plus touchantes que nos adieux. Nous étions inséparables désormais, encore plus qu'avant !

Cela va faire quelques semaines que je suis à Milan, ou du moins, quelque chose du genre. Je n'ai pas le temps de compter les jours et les semaines ! Il y a tant de choses à voir et tant de choses à faire ! Sans compter les gossips de Juicy Diceria à lire. Qui débarque dans une nouvelle ville sans connaître ses rivaux ?

 
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Hey there, enchantée ! andréa ◊ Bitch, please. I am Prada, you are nada. 1935345267 Je suis Hobbitsongs, une petite tigresse dérangée de 22 ans. andréa ◊ Bitch, please. I am Prada, you are nada. 3453105302 Je suis amoureuse de David Oakes - c'est l'homme de ma vie ! On s'en fiche qu'il ne sache pas que j'existe, it's true love ! andréa ◊ Bitch, please. I am Prada, you are nada. 1099760290 - et de tout ce qui est Seigneur des Anneaux, The Hobbit, Harry Potter, Disney et Hunger Games. andréa ◊ Bitch, please. I am Prada, you are nada. 3376359133 C'est Lilelf qui m'a poussée à écouter Gossip Girl, et quelle série ! J'adore ! andréa ◊ Bitch, please. I am Prada, you are nada. 1891964681 Sinon, je suis un peu bizarre et je déconne souvent, mais au fond je ne suis pas si folle que ça (oh la menteuse !) ; si vous avez besoin d'aide ou une question ou quoique ce soit, je suis là ! Je pense bien que c'est tout. Ah non, une dernière chose : ASTÉRIX CEY TROP LA VIE, CRIME ! andréa ◊ Bitch, please. I am Prada, you are nada. 1587247249 PUIS MANGER AUSSI ! andréa ◊ Bitch, please. I am Prada, you are nada. 3352459365

 
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Clio-Dafne Bailo

andréa ◊ Bitch, please. I am Prada, you are nada. Laura
âge : 16 ans origines : Italienne orientation : Hétérosexuelle occupation : Étudiante petit plus : .
feat. : Laura Marano pour un rp : I'm ready crédits : Lilelf (moi) posts : 29 arrivé(e) le : 22/03/2015 âge irl : 32

Clio-Dafne Bailo

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MessageSujet: Re: andréa ◊ Bitch, please. I am Prada, you are nada.   andréa ◊ Bitch, please. I am Prada, you are nada. EmptyLun 23 Mar - 18:08

J'ai trop adoré ton histoire ma Lau d'amour ! andréa ◊ Bitch, please. I am Prada, you are nada. 1599634503
Je voyais très bien l'histoire se dérouler dans ma tête. Bref, ton personnage est purement malade andréa ◊ Bitch, please. I am Prada, you are nada. 3021858467 . Bref, je ferais mieux d’arrêter mon blabla et te valider ! Une dernière chose Faison de de ce forum un endroit Blairena (comme toi & moi). Je suis trop contente de t'avoir à bord de ce projet ! andréa ◊ Bitch, please. I am Prada, you are nada. 768422062



Félicitations !
Juicy Diceria here ! Il me fait plaisir de t'annoncer que tu es officiellement validé(e) ! Maintenant, tu pourras te compter parmi ceux qui me racontent des rumeurs ou être au beau milieu d'une. C'est génial, non ? Je sais, tu n'en pouvais plus d'attendre ! Mais avant tout chose, il va falloir que tu sois Spotted et pour ce faire rends-toi ici. Ensuite, tu peux décider d'amener des gens dans ta descente aux Gossips par  . Après, tu peux remplir ton carnet de relations et ton carnet de péripéties. Puis, tu peux aller regarder les RPs libres. Oh, et n'oublie pas d'aller faire ta demande de logement. Sinon, amuses-toi et explore mon monde.
XOXO
Juicy Diceria
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